Le volume contenu dans la jarre de vin est, après les deux opérations décrites, le même qu’au début.
Par conséquent, la quantité d’eau qui a été apportée dans cette jarre de vin est compensée par une quantité identique de vin qui lui a été enlevée, et qui est allée dans la jarre d’eau.
Il y aura autant d’eau dans le vin que de vin dans l’eau.
Remarque : le volume des jarres est alors sans impact sur ce raisonnement.